Désolée...
Oui, désolée. Désolée pour mes coups de gueule, pour mes partis pris, pour mon obstination à quelquefois râler auprès de ceux qui n'ont sans doute rien à voir avec tout cela....
Désolée de ne pas avoir été plus claire, plus explicite au sujet des raisons qui parfois m'ont conduite à cette méfiance presque...maladive:-)))
Désolée surtout pour ces sous entendus que j'ai toujours privilégiés, plutôt que la clarté d'une exposition des faits et d'eux seuls....
Mais à ma décharge, la Toile, ce monde de néons, d'immatérialité, de lieux de tous les subterfuges qui ne rend pas les humains moins biens , mais plutôt leur donne les moyens, et des plus accessibles, de s'adonner à ce que le monde réel condamne, ou ne facilite pas, est un lieu où les repères ne sont pas les mêmes et où la Vérité est des plus flexible...et possède une définition repoussable à l'Infini...
Quel lieu, finalement, mieux que ce monde infini d'artifice et de fausse lumière pour évoquer...les filets dans lesquels j'ai été prise? Dans lesquels une part de moi s'est mise toute seule, certaine que la Vérité du dehors pouvait s'appliquer à ceux de cet océan sans aucune prise...Ce Lieu dans lequel je suis rentrée un soir de Novembre 2004, je l'appellerais "l'Arène", pour la poésie que parfois il m'a inspiré, pour la crainte souvent, pour l'acharnement du jeu, toujours du jeu, encore du jeu, sans faillir, sans remise en cause, sans pause et jusqu'à parfois la mise à mort, purement et simplement. Une mise à mort émotionnelle, une mise à mort psychique, une mise à mort plutôt que de dire, que d'avouer, que d'offrir la vérité à celui dont on s'est joué...
Le mot peut tuer, c'est vrai...Il existait à la cour de Louis XIV un très chouette jeu comparable à celui que l'Arène a reconstitué...Un jeu cruel et implacable, barbare et meurtrier qui consistait à exécuter celui qui faisait un mauvais "jeu de mot"...
Le génie intellectuel n'est ni plus ni moins qu'un excroissance de neuronnes. L'intelligence stratégique, à son plus haut niveau d'excellence est froide et sans attrait. Tout comme le talent qui ne sert pas le coeur, elle n'a rien de noble ni d'enviable. En revanche: elle est dangereuse pour ceux qui s'y frottent et ont le malheur d'avoir des "sentiments", privilège de notre espèce...
En conflit avec la Réalité de mon monde, l'imaginaire bloqué par l'effroi, la Toile a été mon refuge...Du moins est ce ainsi que ce soir l'à, je l'ai envisagé. En entrant dans cette arène aux virgules scintillantes, aux adjectifs d'or et mots de platine, j'ai cru au repos, à la halte qu'enfin la vie peut être allait m'accorder...
Désolée de ne pas avoir été plus claire, plus explicite au sujet des raisons qui parfois m'ont conduite à cette méfiance presque...maladive:-)))
Désolée surtout pour ces sous entendus que j'ai toujours privilégiés, plutôt que la clarté d'une exposition des faits et d'eux seuls....
Mais à ma décharge, la Toile, ce monde de néons, d'immatérialité, de lieux de tous les subterfuges qui ne rend pas les humains moins biens , mais plutôt leur donne les moyens, et des plus accessibles, de s'adonner à ce que le monde réel condamne, ou ne facilite pas, est un lieu où les repères ne sont pas les mêmes et où la Vérité est des plus flexible...et possède une définition repoussable à l'Infini...
Quel lieu, finalement, mieux que ce monde infini d'artifice et de fausse lumière pour évoquer...les filets dans lesquels j'ai été prise? Dans lesquels une part de moi s'est mise toute seule, certaine que la Vérité du dehors pouvait s'appliquer à ceux de cet océan sans aucune prise...Ce Lieu dans lequel je suis rentrée un soir de Novembre 2004, je l'appellerais "l'Arène", pour la poésie que parfois il m'a inspiré, pour la crainte souvent, pour l'acharnement du jeu, toujours du jeu, encore du jeu, sans faillir, sans remise en cause, sans pause et jusqu'à parfois la mise à mort, purement et simplement. Une mise à mort émotionnelle, une mise à mort psychique, une mise à mort plutôt que de dire, que d'avouer, que d'offrir la vérité à celui dont on s'est joué...
Le mot peut tuer, c'est vrai...Il existait à la cour de Louis XIV un très chouette jeu comparable à celui que l'Arène a reconstitué...Un jeu cruel et implacable, barbare et meurtrier qui consistait à exécuter celui qui faisait un mauvais "jeu de mot"...
Le génie intellectuel n'est ni plus ni moins qu'un excroissance de neuronnes. L'intelligence stratégique, à son plus haut niveau d'excellence est froide et sans attrait. Tout comme le talent qui ne sert pas le coeur, elle n'a rien de noble ni d'enviable. En revanche: elle est dangereuse pour ceux qui s'y frottent et ont le malheur d'avoir des "sentiments", privilège de notre espèce...
En conflit avec la Réalité de mon monde, l'imaginaire bloqué par l'effroi, la Toile a été mon refuge...Du moins est ce ainsi que ce soir l'à, je l'ai envisagé. En entrant dans cette arène aux virgules scintillantes, aux adjectifs d'or et mots de platine, j'ai cru au repos, à la halte qu'enfin la vie peut être allait m'accorder...